1 .
3 distillent le miel,
Et sa parole est plus douce que l'huile ;
4Mais à la fin elle est amère comme l'absinthe,
Aiguë comme une épée à deux tranchants.
5 le sentier de la vie,
Ses routes s'égarent sans qu'elle le sache.
7Et maintenant, (mes) fils, écoutez-moi,
Et ne vous écartez pas des discours de ma bouche.
8Éloigne d'elle ton chemin
Et ne t'approche pas de la porte de sa maison,
9 ;
10De peur que des étrangers ne se rassasient de ton bien
Et du produit de ta peine dans la maison d'autrui ;
11De peur que tu ne gémisses, près de ta fin,
Quand ton corps et ta chair se consumeront,
12Et que tu ne dises : Comment donc ai-je pu haïr l'instruction,
Et comment mon cœur a-t-il dédaigné la réprimande ?
13Comment ai-je pu ne pas écouter la voix de mes maîtres,
Ne pas prêter l'oreille à ceux qui m'instruisaient ?
14Peu s'en est fallu que je n'aie éprouvé tous les malheurs
Au milieu de l'assemblée et de la communauté.
15Bois les eaux de ta citerne,
Celles qui sortent de ton puits.
16Tes sources doivent-elles se répandre au dehors,
Tes ruisseaux doivent-ils couler sur les places publiques ?
17Qu'ils soient pour toi seul,
Et non pour des étrangers avec toi.
18Que ta source soit bénie,
Et fais ta joie de la femme de ta jeunesse,
19Biche des amours, gazelle pleine de grâce :
Sois en tout temps enivré de ses charmes,
Sans cesse épris de son amour.
20Ainsi pourquoi, mon fils, serais-tu épris d'une courtisane
Et embrasserais-tu le sein d'une inconnue ?
21 par l'excès de sa folie.
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