Marc 12 - Bible Segond 1910

Parabole des vignerons. La pierre de l’angleV. 1-12: cf. (Mt 21:33-46. Lu 20:9-19.) És 5:1-7.

1

2 Au temps de la récolte, il envoya un serviteur vers les vignerons, pour recevoir d’eux une part du produit de la vigne.

3S’étant saisis de lui, ils le battirent, et le renvoyèrent à vide.

4Il envoya de nouveau vers eux un autre serviteur; ils le frappèrent à la tête, et l’outragèrent.

5Il en envoya un troisième, qu’ils tuèrent; puis plusieurs autres, qu’ils battirent ou tuèrent.

6Il avait encore un fils bien-aimé; il l’envoya vers eux le dernier, en disant: Ils auront du respect pour mon fils.

7Mais ces vignerons dirent entre eux:

Est devenue la principale de l’angle;

11 C’est par la volonté du Seigneur qu’elle l’est devenue,

Et c’est un prodige à nos yeux?

12Ils cherchaient à se saisir de lui, mais ils craignaient la foule. Ils avaient compris que c’était pour eux que Jésus avait dit cette parabole. Et ils le quittèrent, et s’en allèrent.

Questions captieuses proposées à Jésus sur le tribut à César, la résurrection, le plus grand commandementV. 13-17: cf. Mt 22:15-22. Lu 20:20-26.

13

25 Car, à la résurrection des morts, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront V. 28-34: cf. Mt 22:34-40. (Lu 10:25-37. Ro 13:8-10.)

28

30 et: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force.

31Voici le second:

36 David lui-même, animé par l’Esprit-Saint, a dit:

Le Seigneur a dit à mon Seigneur:

Jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied.

37 David lui-même l’appelle Seigneur; comment donc est-il son fils? Et une grande foule l’écoutait avec plaisir.

Les scribes censurés par JésusV. 38-40: cf. (Mt 23:1-14. Lu 20:45-47.)

38

39 qui recherchent les premiers sièges dans les synagogues, et les premières places dans les festins;

40La pauvre veuveV. 41-44: cf. Lu 21:1-4. (2 Co 8:1-5, 12.) 2 S 24:24. Mc 14:9.

41

44 car tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre.